J’étais devenu prisonnier de cette terre et en plus, j’en étais réduit à vivre comme un simple mortel.
A travers les siècles, je m’étais enfoncé, embourbé dans des dédales compliqués où chaque carrefour me déroutait, me perturbait davantage.
Moi qui étais issu d’un monde où les codes de conduite étaient simples et clairs, où tout ce qui nous entourait nous facilitait la vie.
Voilà que je vivais maintenant loin de cette énergie bienfaisante et coupé de l’inspiration de mes pères.
Je n’avais plus comme guide que ma propre réflexion ce qui impliquait toute l’insécurité et le vertige d’être laissé à soi-même.
C’était cher payer sa liberté. Mais l’individualisme est à ce prix.
Être à la fois son propre maître et son apprenti et en assumer toutes les errances, les égarements et même les ignominies.
Pour remonter cette pente, qui peut être douce ou abrupte selon ses choix, j’ai dû faire ressortir de toutes mes expériences, ce qui me faisait du bien, ce qui m’apportait un état de quiétude, une paix intérieure.
J’ai commencé à rechercher les situations où je pouvais prendre conscience de ma beauté perdue, de ma sagesse oubliée. J’ai dû réapprendre à amplifier mes réussites, mes victoires, au détriment de mes erreurs, mes déchéances.
J’ai osé croire que tout cela avait un sens et que derrière ce chaos apparent, un ordre veillait à ce qu’il y ait réparation et justice.
J’ai découvert que rien ne m’arrivait sans que j’en sois la source qu’elle soit claire et bienveillante ou trouble et malveillante. Je prenais conscience de mes actes par leurs retours à travers l’autre.
L’autre, que je croyais mon contraire, mais qui était en fait mon propre reflet inversé.
Pour évoluer, j’ai commencé par accepter l’état dans lequel j’étais. En d’autres mots, ne plus vivre dans le mensonge, les illusions et les faux espoirs. J’ai repris mes vies et ma destinée en main.
Il vient un temps où on doit faire la paix avec son passé, cesser de regretter ses époques grandioses ou de se culpabiliser sur ses erreurs circonstancielles.
Pour me reconstruire et m’élever à nouveau, j’ai dû en premier, redéfinir ce que j’avais exactement comme acquis, puis accepter la réalité dans toute son intégralité.
C’était le point de départ pour dépasser cette même réalité.
La prise de conscience aiguë de ses possessions et de ses réels potentiels, c’est la condition essentielle à tout changement.
J’ai commencé ensuite à mettre l’emphase sur mes réussites, sur chacune de mes victoires aussi petites soient-elles.
Au prix même de les exalter démesurément pour contrebalancer mon défaitisme devenu chronique avec le temps.
J’appris ainsi à prolonger les moments heureux en les savourant en profondeur, en leur donnant la chance de dévoiler leurs nuances, leurs qualités rares.
Pour me refaire une personnalité positive, j’ai dû à nouveau me faire confiance et faire confiance par ricochet aux autres. Leur donner et me donner la possibilité d’être à notre meilleur.
Je me suis accordé aussi le droit aux hésitations, aux erreurs, aux moments de détresse comme seul moyen pour prendre conscience et avancer.
Nous sommes tous des apprentis en perpétuelle recherche d’équilibre mais cela à travers tant de maladresses.
Se pardonner à soi-même n’implique pas d’excuser ses actes pour ensuite minimiser sa responsabilité.
Mais c’est de faire une prise de conscience sincère pour qu’il ait une juste réparation envers soi et envers les autres.
Pardonner aux autres ne veut pas dire aussi excuser leurs gestes et les effacer de sa mémoire comme si rien ne s’était passé.
Mais c’est de comprendre en profondeur les motivations cachées de l’offenseur et les réelles répercussions sur l’offensé. N’oubliez pas que l’on apprend toute chose en étant tour à tour émetteur et récepteur.
Les expériences conscientes de la vie nous permettent toujours de choisir. Notre conscience nous dit immanquablement si nos choix nous font rapetisser ou grandir.
Si votre conscience ne vous dit rien, c’est qu’elle n’est pas encore éveillée à ce que vous faites. En d’autres mots, c’est que vous les faites inconsciemment.
Quand votre conscience vous révèle l’effet de vos actes, alors vous pouvez choisir de grandir donc de vous identifier à un être plus grand, supérieur ou au contraire, de rapetisser donc de vous identifier à un être plus petit, inférieur.
Mais même quand vous régressez à un état d’avant, c’est qu’il y a encore une partie de vous que vous n’avez pas totalement explorée. Car l’équilibre de l’ensemble est primordial.
Il ne doit pas être juste une façade mais une base solide et en profondeur sur laquelle on peut échafauder, bâtir du réel, du concret.
À l’étape suivante, j’ai décidé de me tenir surtout avec ceux qui avaient choisi comme moi de bâtir des ponts entre les êtres et non d’élever des barrières entre eux.
Je voulais redevenir celui qui jadis se portait toujours volontaire pour équilibrer les contraires, harmoniser les différences.
Cependant, je ne voulais plus jamais le faire au détriment de ma propre santé, d’un débalancement majeur en moi.
L’important c’était de faire circuler les énergies dans mon être pour que mes émotions, mes pensées, mes sentiments soient libres d’aller et venir.
Surtout éviter les blocages, les situations stagnantes qui amènent la cristallisation des énergies, signe avant-coureur de la mort.
Tout est en perpétuelle transformation, redéfinition.
Alors, c’était important que je reste alerte et ouvert dans mes croyances et mes convictions, que je ne me satisfasse de mes acquis que dans la mesure qu’ils deviennent des assises pour m’élever encore plus haut.
J’ai cessé aussi de courir les batailles inutiles qui nous vident de notre énergie vitale. Savoir plutôt être présent là où on doit être et s’impliquer dans des situations à sa mesure.
Ne plus voir l’autre comme un étranger, une menace, mais comme une chance de découvrir un univers plus vaste et de grandir soi-même par le fait même.
Enfin être à l’écoute de sa conscience qui nous dit toujours si nos pensées, nos paroles et nos actes sont à la hauteur de notre évolution.
Descendre dans ces mondes, ce n’est pas comme je le croyais avant, dégénérer ou même s’abaisser.
C’est connaître en profondeur des états d’être inaccessibles dans les mondes supérieurs.
C’est de comprendre de l’intérieur les motivations de toutes les formes de vies possibles.
C’est de vivre une palette d’expériences qui va toujours en s’élargissant de plus en plus. Donc de savoir surtout jusqu’où l’énergie divine peut aller dans son déploiement maximum.
Cela appartient aux aventuriers ou aux braves insensés de tout acabit.
Quand mes vies commencèrent à être plus sereines, j’ai pu entreprendre sérieusement l’étude des réels mécanismes cachés derrière l’apparente complexité de la race humaine.
J’avais perdu, à travers les millénaires, une grande partie de mon savoir me venant de ma planète d’origine.
Et dans les simples corps terrestres, tout était à réapprendre. J’aspirais maintenant à gravir volontairement votre échelle d’évolution.
Pour m’élever concrètement, j’ai dû approfondir la matière de ce monde physique, non en la sublimant comme certains mais en l’explorant et l’appréciant dans toutes ses richesses.
J’ai développé l’aptitude à savourer toutes les subtilités du monde physique, ce qui m’a amené ensuite à pouvoir être sensible à celles des mondes supérieurs.
Rejeter le monde matériel, c’est renier votre réalité de base et bâtir ainsi sur des illusions des faux concepts des mondes à venir.
Il n’y a aucune récompense au ciel qui attend le vertueux, l’ascète ou même le martyr.
Les privations forcées ne peuvent développer les sens à pouvoir apprécier les finesses des mondes paradisiaques.
La vie prend son sens dans la mort et la mort prend son sens dans la vie. Une vie sans raison et sans joie ne peut donner une mort valorisante et exaltante.
J’ai appris à reconnaître la beauté, la bonté et la vérité en toute chose et de les souligner par ma propre contribution.
Aussi minimes que soient nos gestes, ils contribuent à recréer constamment notre univers. Tout est compris dans l’air ambiant.
Chaque humain ne matérialise autour de lui, consciemment ou inconsciemment, qu’un registre précis d’éléments qui le reflète.
Êtes-vous de ceux qui décident ce qui se matérialise ou non dans son environnement immédiat ?
Sur la terre, la palette des possibilités est assez large pour satisfaire les plus difficiles de ses créatures.
J’ai appris aussi à reconstruire chacun de mes corps avec de la volonté et de la persévérance.
Pour pouvoir développer un corps émotionnel stable, il faut vivre une gamme d’émotions large et bien dosée, équilibrée.
J’ai connu toutes les émotions qu’il est possible de connaître en tant qu’acteur et en tant que spectateur.
La clé est dans l’ouverture la plus complète possible pour assimiler le plus de variations possibles tout en sachant que c’est transitoire.
Les émotions, même extrêmes, finissent un jour ou l’autre par s’équilibrer entre elles. Les contraires s’harmonisent pour devenir une base solide sur laquelle on peut explorer d’autres univers.
Les autres corps suivent le même processus. Le corps mental pour être stable et devenir les paramètres d’un univers, doit être basé sur des pensées qui ont atteint un haut niveau de maturité.
J’ai en moi toutes les pensées possibles, imaginables qu’un humain peut avoir, aussi tordues ou brillantes soient-elles.
Pour élever concrètement son taux vibratoire et ainsi avoir accès aux mondes supérieurs, il faut transformer l’énergie solide et immuable en soi en énergie fluide et mouvante.
Par le partage de ses connaissances, on transforme ses acquis stables mais stagnants en révélations incertaines mais actives.
Ma propre remontée fut assez rapide car vivant dans plusieurs corps à la fois, je n’ai eu qu’à les relier à nouveau et intégrer leurs bagages d’expériences en un tout de plus en plus globalisant.
Je tiens maintenant tout votre univers en équilibre en moi et je serais capable de tout ce que vous pouvez imaginer.
Mais c’est moi qui décide, en toute connaissance de cause et en fin de parcours, ce que je laisse émaner de mon être.
J’ai neutralisé les contraires en les faisant se rencontrer. Je pose dorénavant les gestes qui me font grandir et font grandir les autres.
Je suis traversé en permanence par des pensées provenant d’une multitude de vies en moi.
Comme des éclairs, elles circulent librement créant un réseau complexe, un tissage dense que je maintiens dans un équilibre constamment renouvelé.
C’est pour ses raisons qu’il ne faut pas avoir honte ou craindre les pensées troubles en nous si elles sont maintenues en équilibre avec leurs contraires.
C’est moi et moi seul qui décide maintenant lesquels peuvent se prolonger et se densifier jusqu’à créer ma réalité.
En tant qu’entité globale descendant dans des mondes plus restreints, j’ai dû me fractionner dans plusieurs corps à la fois pour incarner ma totalité.
Au début, je gardais ma conscience unique puis lentement, j’ai perdu inévitablement les liens entre nous.
Je suis devenu un ensemble d’êtres qui se côtoyaient sans se reconnaître.
Quand j’ai repris le chemin du retour vers moi-même, ce fut la reconnaissance de l’autre comme une partie de moi qui fut le plus difficile à réaliser. Le développement de mes corps plus vastes en était l’étape cruciale.
Se construire des véhicules toujours plus raffinés et fonctionnels par leur contrôle conscient permet des voyages dans les mondes qui leur correspondent.
Cette évolution se fait naturellement chez tous les êtres qui cherchent tant soit peu à comprendre les motivations au-delà de leur quotidien.
Comme l’épuration des corps n’amène pas leurs insensibilisation mais au contraire, une plus grande sensibilité, alors il faut cesser de rejeter tous les plaisirs naturels des sens au nom de l’élévation.
Votre corps physique peut sembler avoir des sens primitifs dus à son taux vibratoire lent mais il est quand même le mieux adapté pour se mouvoir dans votre monde matériel.
Son côté frustre ne le rend pas pour autant honteux.
Sans lui, rien de ce qui peut suivre dans votre évolution aura des bases solides et une raison d’exister.
J’ai parcouru bien des chemins de traverse avant de trouver enfin une voie plus droite. La force de la vie, de l’énergie première est de nous pousser toujours à nous dépasser.
Malgré les stagnations et même les reculs, il vient un temps où on n’a plus le choix de progresser ou de mourir.
Un des trucs pour avoir une vie longue et heureuse, c’est de se donner régulièrement des défis à réaliser qui nous réjouissent dans le présent.
On meurt le jour où l’on ne progresse plus en quoique que ce soit.
La vie n’est un cercle vicieux que pour ceux qui se contentent de répétitions.
Elle est une spirale évolutive pour tous ceux qui comprennent que ce qui semble répétitif est en fait à chaque fois différent.
Il ne faut pas attendre la mort du corps physique pour faire enfin un bilan rétrospectif ni une renaissance à travers un enfant pour se fixer des nouveaux idéaux.
Chaque soir est une mini mort et chaque matin est une mini naissance.
Chaque soir devrait être un moment intime pour apprécier et parcourir sa journée avec le désir d’en faire ressortir les bonnes choses et d’en comprendre les maladresses.
Chaque matin devrait servir à se fixer des objectifs atteignables qui nous font progresser chaque jour à un plus haut niveau.
C’est à chaque inspiration et expiration que les êtres évolués font cette démarche.
Si vous remerciez dans une attitude constante la vie qui vous gratifie de ses richesses, alors inévitablement sonnera l’heure de votre départ définitif de ce monde physique car vous aurez atteint un niveau de plénitude qui ne pourra être dépassé que par l’accession à un monde supérieur.
Votre destin, pour ceux qui savent lire dans les astres, est déjà inscrit. Vous serez une race magnifique ou vous n’existerez plus. Il n’y aura pas de demi-mesure.
Mais, déjà, des populations se lèvent pour connaître leur vraie origine et savoir leur vraie raison d’être.
Elles ont soif de contacts supérieurs qui les aident à dépasser leur banal quotidien.
Elles savent qu’elles n’ont pas été créées juste pour travailler, manger, rêver et mourir qu’elles ont en elles un plus grand potentiel endormi.
Elles attendent plus de la vie et si les Dieux le veulent aussi, tout sera possible.
Vous avez comme espèce une des palettes de comportements les plus larges.
Oui ZORG, malgré le voile de l’oubli, c’est assez, j’ai envi de sortir de ces boucles de vies.
J’ai envie que l’on me lance une corde des mondes supérieurs pour me sortir de ses sables mouvants, pour m’élever, m’instruire, découvrir ou re découvrir toute les possibilités de ses magnifiques corps que vous nous avez donné. J’ai envie de vous faire honneur et d’être exalté comme un enfant devant tant de merveilles.
Merci de nous relater votre belle expérience.
Gratitude
Salutations


En aucune facon je ne veux vous offenser, la premiere phrase de ce chapitre as une signification qui dit l’inverse d’une aide extérieur tel une corde que l’on vas nous lancer, je pense que ce qui veut etre dit là signifie une aide éxtérieur direct
Dans ce text, Zorg dit comment il a travaillé pour « remonter la pente », j’espere pour vous que cela puise etre sorte de ces cordes qui puisent vous etre lancé
bravoure et courage a vous
Je comprends depuis peu et encore plus avec ce texte que nous n’avons pas besoin de corde des mondes supérieurs. Tout est à l’intérieur de nous. Et plus encore, tout doit venir de l’intérieur pour rayonner à l’extérieur, et pas l’inverse
S’élever, s’instruire, se découvrir soi-même, sa puissance et ses possibilités, tout cela dépend uniquement de nous-même. Le dépassement de soi pour aller à la rencontre de soi et des mystères de l’Univers ! La corde des mondes supérieurs commence dans notre cœur, à nous de voir où elle nous mène en s’y accrochant et en grimpant de toutes nos forces !
Amour, union, partage
Merci …ce partage vibre a l ‘intérieur de moi

Ce chemin de reconnexion de soi est juste passionnant et cela me parle , me boost
Gratitude
MA-GNI-FIQUE… Là on les sent bien les clés d’activations… Une Phrase, un concept, une parole… et BOUM !!! Jamais je n’ai autant Vécu ses paroles à ce point… Que de pistes, que de sagesse, que d’expériences… Le chemin est balisé véritablement et mon ressenti me dit « ça OK, ça en cours, ça pas encore vu…., ça vécu dans mes tripes et mon coeur… INCROYABLE »… « je… nous… sommes sur le bon chemin.
MERVEILLEUX
Merci Laurent et Zorg, c’est comme si l’arbre de la progression vers le retour à l’unité venant de s’éclairer (encore!!! mais plus complètement).
VOLONTE … PERSEVERENCE … RETOUR VERS SOI …
je ressent ce passage comme le plus important ( des 8 histoires ) étant le mode d’emploie de la marche à suivre pour sortir de notre prison
Zorg a empreinté ce chemin …
il nous explique les tenants et les aboutissants , à nous d’agir de même . C’est un privilège qui n’est pas donné à tous .
MERCI est un bien petit mots pour exprimer notre gratitude . Son histoire qu’il nous partage n’a pas de prix !
c’est inestimable
Zorg , mon Pére , mon Frère , mon ami , mon moi … Je te dis à bientôt pour nos retrouvailles dans la libération .
MERCI LAURENT le transmetteur de bonnes nouvelles NAMASTE
Je résumerai cette partie par: « Ascension mode d’emploi »
« Considérer chaque soir comme une mini mort et chaque matin comme une mini naissance » … « ne pas attendre une mort physique pour faire un bilan ».
Demander chaque soir à l’Univers de faire le tri dans nos expériences de la journée , aussi bien conscientes qu’inconscientes et pourquoi pas dans les 143999 autres vies de notre ED…
Merci Zorg merci Laurent
YAPLUKA Claude
Pour les Êtres Evolués c’est entre chaque expiration et inspiration.
Petits ou grands « défis » de chaque jour …pas à pas progresser …vibrer chaque moment pour ce qu’il est ..
Merci Zorg ,de ce que tu confortes et réconfortes en nous …
Tellement de simplicité dans ce vécu , ce chapître miroir …Nous sommes tellement aidés …
Merci Laurent

Merci Zorg
Merci infiniment pour ce partage évolutif où on peut se reconnaitre 🙏🏼
PAs facile pour moi , de faire ça , mais c’est une réponse à une demande , la rigueur qui me manque, je me réveille mais j’ai beaucoup de mal à sortir du lit
merci laurent; une révélation encore plus vaste ,merci laurent et merci zorg
C’est nous qui avons la plus large palette d’émotions et de sentiments.. nous sommes prometteurs pour devenir des sages dans le tout nouveau semi-univers de l’eau qui nous attend..
Ma conscience me parle. Gratitude.
Merci à Zorg pour ce témoignage….un fil rouge pour le retour à l’UN
Cela je l’ai toujours su au fond, c’est pourquoi j’ai toujours voulu donner du sens en chaque chose, à ma vie etc…
« Mais, déjà, des populations se lèvent pour connaître leur vraie origine et savoir leur vraie raison d’être.
Elles ont soif de contacts supérieurs qui les aident à dépasser leur banal quotidien.
Elles savent qu’elles n’ont pas été créées juste pour travailler, manger, rêver et mourir qu’elles ont en elles un plus grand potentiel endormi.
Elles attendent plus de la vie et si les Dieux le veulent aussi, tout sera possible »
Eh bien, le message délivré ici est bien celui que nous attendions, une réunification des contraires, une acceptation de ce que l’on est et de ce que l’on expérimente sur ce monde, dans un seul but, nous dépasser… chaque jour un petit pas suffit pour nous délivrer de toutes nos limitations illusoires. Concevoir ce but, et le concrétiser à son rythme, à son niveau, réunifier chacun de ses corps, apprendre à se faire confiance… même dans l’adversité. C’est un défi à relever, c’est le défi que toi, Zorg, tu as relevé, car tu aurais pu sombrer, mais comme tu le dis, l’énergie de Vie nous guide et nous pousse, et nous le ressentons bien. Cette envie de nous dépasser, elle est là! Le plus « difficile » est d’apprendre à gérer cela, et tu es un exemple, tu nous enseignes par ton exemple. C’est elle, c’est l’énergie de Vie qui nous ouvre la voie à travers ces lignes qui rassemblent. GRATITUDE GRATITUDE GRATITUDE à tous ceux qui nous guident et nous aiguillonnent.
Quand je lis ces épisodes, j’ai l’impression de me lire, de lire ma vie, c’est assez troublant. Et je crois que la clé est là, on est tous une partie de ce créateur qui tente de s’en sortir et de remonter la pente, d’évoluer. Chaque mot. Chaque phrase résonne en moi en ma vie… on est tous une partie de cette creation.
Que de Chemins parcourus depuis …
C’est quand on est dans la Nuit qu’il est Bon de croire à la Lumière …
MERCI ZORG!
GRATITUDE Laurent!
C’est la partie qui me correspond le plus. Comme un écho. Je comprends mieux pourquoi je me pose toujours des questions. Je trouve de plus en plus les réponses…. en moi, même si je considère le travail que font les autres. Merci Laurent, corine et merci Zorg ainsi que tous mes amis petits poucets. C’est bien ce que nous sommes non ? Comme E.T. téléphone maison ?

Bel exemple de remontée évolutive de prise de conscience ,de connaissance de soi-meme ,ne pas vivre comme un robot apprécié les nuances de gris des expériences…..Mais ne pas oublié que nous sommes tous différents et que le chemin peut comporter des similitudes mais n est pas en tout points identiques le mot clé étant l ÉQUILIBRE ,avoir la foi et ne pas quitter des yeux le but et l intention fixés Gratitude Merci Merci Merci et Méga FDC a tous et a toutes

Pour moi des ressentis pas toujours agréables dans mon corps, palpitation, état nauséeux, tremblements légers et sensation de fraicheur….je ne peux l’expliquer aussi j’accueille ce qui est…
Toute ma gratitude
« on est arrivé à des conditions lamentables » c’est ainsi que le message commence ? c’est le moins qu’on puisse dire ! ……………………..
Merci infiniment Zorg pour ce témoignage qui nous montre en quoi cette expérience terrestre se révélera être un bagage appréciable pour goûter pleinement toutes les subtilités des dimensions supérieures 🙏🙏
Merci Laurent, véritable conteur né 💙💙
Tout simplement MAGNIFIQUE !
Merci merci merci
Merci ! Zorg raconte l’histoire de tous ceux qui prennent le chemin de l’Ascension…
Complètement d’accord avec toi Jean-Lucas, ta phrase est un parfait résumé de mon ressenti.
Je reconnais mon vécu dans cette vie (je pense à la souffrance décuplée de Zorg qui se souvient de tout…) et je lis le chemin qu’il me reste à parcourir, étape par étape, sans en brûler, et sans jamais cesser de vouloir avancer.
Je m’aperçois aussi que plus j’ai de gratitude envers ce qui est, plus je sens d’amour en moi et plus ma gratitude grandit, comme si l’expansion n’était pas juste un « retour à la maison », mais était infinie. Et c’est jubilatoire !
Magnifique chapitre, tellement dense que je vais devoir le relire plusieurs fois en conscience pour bien m’en imprégner et en comprendre toutes les nuances. Quelle joie de savoir que Zorg a réussi son ascension au point de se hisser au niveau d’un univers, notre univers. J’ai l’impression d’être un atome dans un organisme qui s’appelle Zorg. Et il est capable de s’adresser à nous, de témoigner de son parcours, de nous encourager. Gratitude.
Chaque situation ici-bas dans la vie est d’abord subie puis vécue dans la dualité, enfin vient le jour en dehors du temps où la même situation est regardée avec un nouvel œil, en dehors de tout jugement juste pour le plaisir qu’elle apporte et à notre corps et à notre esprit. Chaque facette de notre multidimensionnalité s’exprime alors à chaque pas. En regardant ces facettes s’exprimer tout en les remerciant de faire partie de Soi, on invite peu à peu notre Esprit Directeur à s’incarner dans la matière à travers nous. Non pas qu’il prenne notre place juste qu’il en exprime la dimension Supérieure. Gratitude…
Bonjour. Cette partie m’a fait vibrer plus encore

car c’est une véritable remontée vers le meilleur de soi et à l’intérieur de soi
Une redécouverte de la vie, de la matière, des beautés, de la bonté… de soi et son potentiel
Une confirmation que nous devons continuer à travailler avec vigilance, équilibre sur notre corps, nos émotions et de nos pensées. Merveilleuse journée
MERCI Zorg et Laurent
même ressenti que toi,ce texte nous rappelle vraiment l’essentiel de notre travail
quotidien,chose qui est difficile tant notre quotidien est pollué;mais je pense
que je vais relire ce texte encore une fois et prendre des notes pour pouvoir
travailler et me rappeler qui on est et d’ou on vient,car on a tendance à l’oublier.
FDCà tous et merci à Laurent.
» Elles ont Soif de contacts supérieurs qui les aident à dépasser leur banal quotidien.
Elles Savent qu’elles n’ont pas été créées juste pour travailler, manger, rêver, mourir … elles ont en elles un plus grand potentiel …. elles attendent plus de la vie et … si les Dieux le veulent, Tout sera possible !!! »
Que le voile se lève…. enfin …
Merci !
Tellement touchant ! ça remue tout en profondeur, la gorge se serre et, comme des flocons de neige, les larmes tombent des cieux…. Merci
Accepter et comprendre que RIEN n’ est acquis et que rien ne nous appartient, savourer et privilégier les moments heureux, avoir foi en soi, accepter nos erreurs.comprendre aussi que le pardon c est se mettre à la place de l’offenseur en comprenant ses motivations et évaluer l’impact sur nous même. Guérir son moi profond en assumant nos erreurs pour mieux les réparer.arrêter les pensées négatives qui tournent en boucle pour dénouer les noeuds et avancer en écoutant son moi profond. Accepter qui on est en restant vrai.
Merci, pour ce rappel, ce sont une partie de nos épreuves principales dans ce monde, qui permettent une guérison, une paix intérieure, et l’appel à l’Amour de soi et des l’autres. En ces moments difficiles, ce serait magnifique si nous adoptions tous ces attitudes en toutes circonstances. Nous sommes mis à l’épreuve et aujourd hui plus que jamais. Les situations et épreuves de tous les jours sont là pour nous conscientiser du comportement à suivre ,alors que nous nous sentons fragilisés, et oppressés.
Ouhaaa, quelle leçon! merci infiniment!
(impossible de laisser un com sur le n°7)
Tout cela est très très masculin quand même ! Mme Zorg nous aurait donné un témoignage complètement différent !
Il n’y a pas de vibration féminine dans ce texte sauf dans les 1ers épisodes, très étonnant pour un être qui a vécu toues les vies.
Bonjour à toutes et tous
C’est bien la première fois que j’entends chaque mots de ce que tu nous conte Laurent, je reste présente, à l’écoute…. Je partage cette vérité….j’y ressens et retrouve mon cheminement personnel
Merci
FDC