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Tant que je me suis incarné dans ma propre descendance, cela a conservé mon héritage génétique.

La coutume de la lignée de vos dirigeants fut au début la promesse de la sauvegarde de la conscience supérieure.

Mais elle est devenue avec le temps une aberration mettant des consciences moyennes voire même tarées à des postes importants de direction.

Après l’Égypte, ce fut l’Indochine, la civilisation la plus prospère il y a dix-huit mille ans.

Il m’est inutile de raconter chacune de mes vies avec leur lots d’exploits et d’erreurs.

Avec le temps, j’ai connu et vécu toute la gamme possible d’expériences qui est donnée de vivre à un humain sur terre.

D’un dignitaire à conseiller, d’un serviteur à esclave, d’un homme à tout faire à fainéant, d’un soldat à poltron, tout ce que vous pouvez imaginer, je l’ai expérimenté.

En venant ici, j’ai ressenti toute une palette de sentiments, de pensées, d’émotions que je ne connaissais pas.

Même si nous travaillions avec des formes de vie à tous le stages de l’évolution, nous ne comprenions pas les motivations profondes qui animaient ceux qui luttaient pour leurs survies.

J’étais étranger à cette rivalité cruelle où il y a un gagnant et un perdant, où l’autre est vu comme un ennemi potentiel.

Ces jeux sans pitié, sans remords et sans séquelle me déroutaient et j’en éprouvais une aversion que j’avais du mal à contenir. Je ne descendais jamais plus bas que ce que mon taux vibratoire me permettait.

Ce qui fait que ce que je connaissais de cette confrontation des contraires pour la suprématie de l’un était bien au-deçà de ce qui m’attendait dans votre monde.

J’ai vécu à toutes les époques de votre planète dans les quarante derniers mille ans et j’y ai connu la plupart de vos civilisations.

J’ai intégré les corps de milliers d’êtres qui m’ont permis d’expérimenter toute la gamme possible de sensations, d’émotions et de pensées. A travers ces consciences, j’ai épousé intimement la vie dévolue aux humains.

J’ai aidé de mon mieux en dirigeant ou en guidant des dirigeants. Au début, j’ai influencé le cours de l’histoire pour qu’il tourne en faveur de la connaissance évolutive et le respect des différences.

Je finis néanmoins par être piégé dans des corps trop étroits. Ce qui veut dire ayant toujours ma conscience alerte mais possédant des moyens ridicules pour la manifester.

J’ai appris à me restreindre et à me contenter de ce que j’avais. Démission, résignation, acceptation, on peut lui donner le nom que l’on veut.

Nager à contre-courant, entretenir la révolte intérieure en permanence ne faisait que m’essouffler davantage et réduire mes réserves d’énergie.

J’ai dû apprendre à survivre dans toutes les conditions possibles et je suis devenu malgré moi un terrien comme les autres.

Mon orgueil en a pris un coup. J’ai appris à survivre comme les autres, à mentir, à trahir, à voler pour tirer profit de cette planète ingrate.

La haine, la vengeance, la cruauté, tout était bon pour me soulager de mon trop-plein de frustrations.

Voilà ce que c’est d’avoir une palette large, trop large si vous voulez le savoir pour notre piètre endurance.

J’ai été coincé ici trop longtemps. J’ai perdu trop souvent espoir de me sortir de ce trou. J’en ai voulu aux terriens pour ce qu’ils sont devenus.

On ne peut se battre contre les forces plus grandes qui régissent
tout. Ce système a toujours été mal foutu et je le suis devenu moi aussi par analogie.

Comment retrouver ma splendeur, ma confiance et ma témérité Comment croire que tout cela a eu un sens dans ma longue vie.

Je me suis vu longtemps comme un être splendide déchu, démis de ses fonctions, maudit par ses semblables, un judas de tout un peuple.

Je me suis accusé moi-même, jugé, condamné et j’ai exécuté la sentence. Se pardonner à soi-même, c’est si difficile quand on est perfectionniste à outrance.

C’est comme s’avouer faillible, admettre ses erreurs et se croire encore correct malgré les fautes.

À travers les siècles, il y a toujours eu des contacts épisodiques avec nos frères d’en haut. Ils m’amenaient parfois des nouvelles de la mère patrie.

Mais moi j’étais cloué ici et je devais faire de mon mieux avec des moyens qui s’appauvrissaient inexorablement.

La splendeur de nos villes jardins n’étaient plus que souvenir lointain. Elles avaient laissé la place à des bâtisses de plus en plus rudimentaires.

La construction des pyramides fut une de nos dernières réussites avant de perdre totalement nos capacités surhumaines.

Elles furent érigées il y a environ huit mille ans dans le but de stabiliser l’axe et la rotation de la terre et pour longtemps.

Il ne restait environ que quelques millénaires avant le prochain grand déséquilibre.

Cet événement n’était plus nécessaire à nos yeux. Le rôle de ces gigantesques constructions fut toujours d’attirer et de concentrer un flot d’énergie assez grand pour pénétrer dans des artères vitales de la planète et leur insuffler une force suffisante à son équilibre.

Donc, des endroits furent choisis sur des points névralgiques des grands courants énergétiques de la terre.

Pour conserver le pouvoir magnétique optimum de la pierre, des montagnes entières furent découpées en morceaux et rassemblées dans le même ordre au lieu choisi.

Le transport des pièces de cet immense casse-tête se faisait par répulsion magnétique, cette faculté de repousser tout objet en synchronisant sa polarité précise contraire.

Nous reçûmes l’aide d’en haut pour construire d’autres pyramides dans quatre autres lieux sur la planète. Leurs pouvoirs furent accrus par un revêtement à double face pouvant attirer et conserver l’énergie.

Il est dommage que cette enveloppe, ayant le pouvoir de focaliser l’énergie jusque dans les veines de la terre, fut pillée pour servir, entre autres, à faire des bijoux futiles.

La création artistique qui souligne que la vanité de ses propriétaires au détriment de ressources, de vie, d’équité entre les êtres ne devrait pas être la fierté d’un peuple.

À cause de cela, ces centrales énergétiques ont perdu beaucoup de leur efficacité. Ce que vous saurez officiellement dans à peu près dix mille ans.

Les pyramides à étages, qui furent construites par certains peuples, sont des reproductions maladroites de nos villes jardins abandonnées par nous.

Les plus grandes furent réalisées par des peuples possédant encore la formule de la répulsion magnétique.

Avec l’impitoyable passage du temps, mes facultés s’amenuisèrent complètement pour ne me laisser que des bribes de souvenirs.

Ces éclairs de conscience me laissaient entrevoir des possibilités que je ne pouvais plus réaliser faute de moyens.

A quoi ça sert d’imaginer constamment de grands projets impossibles à concrétiser ? J’ai souvent passé pour un fou inoffensif ou un illuminé dangereux ?

J’aurais peut-être préféré devenir amnésique pour de bon. J’ai même souhaité que toute mon entité soit annulée, mon éternité inclus. Jusqu’où le découragement peut-il nous mener ?

Il m’était difficile d’aimer la vie sur terre parce que ma mémoire d’avant, même floue, provoquait en moi une très forte nostalgie.

Pouvais-je oublier complètement une époque grandiose où tout était possible ?

À travers l’histoire, ceux qui comme moi connaissaient vos origines, ont à peu près tout tenté pour accélérer votre évolution, vos prises de conscience.

Mais, la planification de ces tentatives devaient-elles rester secrètes entre les élus ?

Il y eut de longues discussions entre ceux qui étaient pour que vous gardiez votre innocence, le secret sur vos racines et ceux qui étaient pour que l’on vous instruise rapidement sur votre potentiel et votre véritable rôle.

Il y eut des divergences d’opinions, des confrontations, des combats internes même. Nous étions devenus ce qui nous horripilait dans votre monde.

Je faisais partie de ceux qui imposèrent de cacher la vérité pour mieux contrôler votre destinée.

Ce n’était pas évident de mettre entre vos mains des informations qui pouvaient faire s’écrouler tous les acquis. Vous instruire graduellement me semblait plus sûr.

Et de toutes façons, la visite épisodique d’instructeurs pour éclairer les peuples donnait des résultats plus qu’éphémères. La mémoire collective n’en gardait que peu de souvenir.

Tous ces prophètes, ces envoyés des cieux, ces beaux parleurs qui sont venus pour nous redonner espoir, nous faire rêver un temps puis qui nous ont laissé ensuite dans une plus grande détresse J’en ai cru des prophètes de Melchisédech à Isaïe, de Samuel à Jérémie, de Moïse à Jésus-Christ.

Là je vais peut-être un peu trop loin mais j’essaie de vous restituer mes émotions de l’époque qui ne sont plus celles d’aujourd’hui.

Quand l’entité appelée Christ s’est enfin manifestée en toute conscience à travers le corps de Jésus, c’était pour annoncer l’ouverture d’un verrou qui empêchait le cinquième corps, celui de l’amour de se manifester complètement.

Avant lui, la survie personnelle à travers les corps s’était perdue et n’était réservée qu’à ceux qui le méritaient par leurs efforts soutenus.

Le quatrième corps, que la plupart des humains de l’époque possédait, garantissait un certain prolongement après la mort du corps physique.

Mais beaucoup mouraient définitivement d’une deuxième mort dans le monde des émotions.

Le Christ a permis, grâce à son intervention, à la majorité des humains même aux plus humbles, d’avoir une survie personnelle.

C’est pour cela qu’il fut considéré comme un sauveur d’âmes, comme celui qui a effacé la dette de nos erreurs passées.

Mais, à mon grand regret, il n’amena pas encore la réouverture des passages, des voies d’accès entre nos deux mondes.

“Son royaume n’était pas ici” comme il disait. Dommage que son mandat n’était pas de rester et de fonder une grande civilisation.

Ce n’est pas par faute de ne pas avoir tout essayé pour le convaincre.

Il paraît que nous devions nous élever par nous-mêmes jusqu’à être digne d’être admis dans la fédération. Une façon de nous dire gentiment au revoir et à la prochaine.

Ce qui me fit bien entendu désespérer un autre deux mille ans. Combien de verrous devront-ils être débarrés pour que l’on soit enfin une race splendide ?

Aux grands, il leur est demandé beaucoup et à ceux qui échouent, on leur enlève tout.

Je crois avoir tout perdu ma force, mes pouvoirs, mon assurance, ma fierté, ma légèreté d’être. Le dos courbé, j’ai erré à travers mille vies.

J’ai pleuré des milliards de larmes. J’ai supplié le ciel de me pardonner mes erreurs autant de fois que je l’ai contemplé.

J’ai exigé mon retour dans les plus brefs délais. Mais au bout du compte, je restais toujours seul, hanté par des regrets, des pourquoi sans réponse.

Être humain, c’est d’avoir des milliers de questions et une révélation à tous les deux mille ans.

Jamais je n’aurais pu imaginer, dans mes pires visions, descendre aussi bas et vivre moi-même au quotidien ce cauchemar qu’est cette terre.

Connaître la haine de l’autre, n’avoir comme but que de terrasser ses ennemis être fier de la peur que l’on inspire chez les vaincus prendre plaisir à faire souffrir, à torturer des innocents.

Tout cela, je l’ai connu et pire encore. Maintenant je sais. Vos pleurs sont les miens. Vos prières sont les miennes. Vos espoirs sont mes espoirs.

Comme il est facile de juger ce qu’on ne connaît pas de l’intérieur.

Tout votre monde, avec ses milliers de réactions allant d’un extrême à l’autre et cela dans toutes les directions possibles, fait partie de moi maintenant.

Mon histoire à partir de ces deux derniers mille ans est comparable à n’importe quelle histoire que peut vivre un terrien.

Les portes se sont fermées sur mes anciennes possibilités, sur mon contrôle de mes anciennes aptitudes jusqu’à ne plus être qu’un simple citoyen, insignifiant dans la multitude, avec de vagues souvenirs de son illustre passé.

Vous avez vous-même les vestiges et la nostalgie d’un âge d’or perdu, enfermés dans votre mémoire collective.

Je suis devenu, par la force des choses, méfiant, solitaire, fuyant les gens pour ne pas les brusquer ni les effrayer.

Étant moitié extra-terrestre et moitié humain, j’étais déchiré entre ces deux pôles qui semblaient ne vouloir jamais s’équilibrer en moi.

Je passais pour un étranger où que j’aille, celui dont on se méfie car quoi que je fasse, mes maladresses trahissaient ma double identité.

Je suis descendu dans ce monde obscur pour le connaître, le comprendre et j’y ai vécu malgré moi toute une gamme de sentiments, de pensées puis d’émotions jamais perçues avant.

Malgré toute ma bonne volonté, j’ai chuté au plus bas de votre échelle de valeur en subissant et vivant frustration, déception, découragement, regret, culpabilité, remords, douleur, mépris, trahison, haine, chantage, vengeance, violence, cruauté et j’en passe.

Tout ce que l’humanité peut contenir de comportements négatifs jusque dans leurs extrêmes, je les ai connus à travers les autres et à travers moi-même.

Maintenant, ils sont mon héritage, ma conscience. Je les tiens en respect en moi car je les ai neutralisés dans leur potentiel destructeur.

Je peux maintenant comprendre et ressentir ce que vous ressentez dans les recoins les plus sombres de votre univers intérieur.

Après bien des mésaventures et des défaites, je n’ai pas eu le choix, un jour, que de réagir et de remonter, échelon par échelon, l’échelle de l’évolution dévolue aux terriens.

Me redonner une chance, me refaire confiance, accepter mes erreurs passées et présentes comme les étapes inévitables à ma prise de conscience.

Que tout ce chemin parcouru avait un sens et qu’il m’avait rendu plus fort, plus riche d’expériences et d’aventures impensables ailleurs que sur cette maudite planète bleue.

Alors mes vies prirent un nouvel essor. J’ai découvert lentement mais sûrement des qualités, des finesses que j’avais acquises sans m’en rendre compte en fusionnant avec votre race.

J’ai réappris grâce à vous, la patience, l’enthousiasme, le courage, l’effort, la fierté, la sérénité, le plaisir, la confiance, le respect, l’entraide, la bonté, la générosité, l’amour, la joie et j’en passe.

Toutes ces facettes se sont éclairées sous un nouvel angle grâce à leur contraire.

Est-ce que tout cela a fait de moi un être meilleur ? Assurément, et surtout un être plus vaste en acquis de toutes sortes donc plus conscient à plusieurs points de vue.

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25 Commentaires

  1. Eric d19

    C’est une description des mémoires « akashiques » de toute l’humanité… de choses que nous savons intuitivement être vraies, vécues, subies et expérimentées en chacun de nous… Bienvenu au club Zorg… Tu exprimes avec beaucoup de netteté de compréhension et de recul ce que nous peinons a voir quand on a la tête dans le guidon de ce tourbillon bordélique de la «  vie terrestre». Il y a toujours dans les écrits de Zorg cette sensation de déjà vu comme si il traçait une ligne de vie parallèle a la «  mienne… où aux notres » , une véritable réactualisation de qui nous sommes, un agglomérat ordonné et clair de toutes les pièces éparses de nos existences. Tout résonne et tout s’aligne… WAOU

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    • Christine Gilles
    • Olive

      Dans la dernière parti du message il énumère certaine des qualités humaine acquise
      De vie en vie .la terre est une belle école. smile 😁🙏

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  2. Christine Gilles

    Gratitude good

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  3. Alain44

    « Être humain, c’est d’avoir des milliers de questions et une révélation à tous les deux mille ans. »
    Tout est dit, il nous faut monter dans le prochain train vibratoire cool
    Gratitude pour ce retour d’expérience

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  4. marie-claude15

    La « cuve à fuel », puante , aveuglante …Étape incontournable à remonter barreau par barreau, vers un horizon de résurrection des plus belles facettes …Mais quel cauchemar …
    Gratitude au plombier éclaireur du chemin à acter, de nous avoir motivé barreau par barreau, à se hisser dans ce sens …Faut dire qu’on revient profondément de très bas …..En voiture !!!!!
    FDC

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  5. alpha

    très emouvant merci laurent

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  6. Vie vie

    Tout est dit! Zorg nous décrit, à travers sa propre expérience de ce que nous sommes, de ce que nous expérimentons. Il exprime admirablement cette dualité, et le creuset qu’elle peut représenter. Oui, plus nous descendons au tréfond de notre sombritude, et plus nous avons de chance de développer son opposé, la lumière. Quel bel éclairage!
    Il a ainsi enduré tout ce que nous avons enduré, a eu les mêmes réactions de rejet, dans tous les états que cela suppose.
    Il réussit à décrire tous les sentiments que nous éprouvons dans toutes les situations. Et oui, ça ne se vit que de l’intérieur, on ne peut pas le comprendre de l’extérieur. Telle était sa « véritable » tâche, nous comprendre et nous ouvrir le chemin du retour vers l’évolution. S’il s’en est sorti, nous pouvons le faire! J’ai pleuré pour toutes ses souffrances imposées, car ce sont aussi les miennes, les nôtres… mais ce sont plus des larmes de libération de ce qui semble être une aberration. On dit bien que « c’est un mal pour un bien », les deux facettes d’une même réalité vécue différemment… Merci Zorg, on se sent plus fort en te lisant, plus digne, peut-être plus prêt à se pardonner… et à remonter les manches!

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  7. Mary Ann

     » J’ai réappris grâce à vous, la patience, l’enthousiasme, le courage, l’effort, la fierté, la sérénité, le plaisir, la confiance, le respect, l’entraide, la bonté, la générosité, l’amour ….  » voici la palette vibratoire avec laquelle notre humanité enrichie l’expérience nommé Vie !
    Merci !

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  8. HELENE LOUISE MARIE RODIER

    Petite fille j’étais prise de vertige en pensant au grand tout qui nous entoure ……. La curiosité de savoir QUI nous étions ne m’a jamais abandonnée et j’ai cherché sans relâche.
    Je comprend plus clairement et plus précisément Pourquoi ……
    Magnifique dualité qui permet à tous d’évoluer vers la Lumière ……. Mieux sans doute, si nous choisissons ce Chemin.
    MERCI Zorg, MERCI Laurent et à son équipe, Merci à celle qui m’a mise sur cette voie (à ce moment là, cette Amie a du sentir que j’étais à l’écoute !!!) Merci à vous tous qui suivez cette voie, Merci aux autres car ils font partis de nous, MERCI à notre Terre Mère de nous avoir accueilli.

    FDC

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  9. patriciakanta

    Je n’ai peut-être rien compris. Donc, il a eu dur notre Zorg. Pourtant lui, il est venu sans verrou (erreur du début qui préfigurait la suite « les meilleurs d’entre nous … Nous les avions surestimés… non ! Vous Vous étiez surestimés. Bonjour le discernement!
    La phrase que je retiens car effectivement, en dehors de cette musique déjà entendue, sentie, et lue : « 4/9 page 6 : « une nouvelle espèce forte, centrée sur elle, ayant la capacité de rayonner dans un espace raréfié , pouvant être inspirée sans l’inspiration, pouvant même trouver la sérénité dans les pires conditions, voilà ce que les meilleurs des humains sont devenus malgré eux » après, on en parle plus ou je dois relire.. dslée, si je ne suis pas en phase, je vis drame sur drame et mon regard est peut-être faussé.

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  10. Barbara

    Quelle belle leçon de courage, d’humilité, d’amour,
    Respect Zorg
    Merci de nous guider
    Gratitude pour le partage et la route déjà accomplie Laurent smile 💚

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  11. Believe

    Merci pour ses revelations Zorg! yess

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  12. Manon Harvey

    Serions-nous tous comme Zorg….Ma PV me répond oui ! Merci Méga FDC

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  13. jaco

    merci et gratitude pour le rappel de toutes nos vies passées et de notre capacité a aujourd’hui
    etre dans les conditions idéale pour une plus grande participation à notre retour merci laurent

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  14. Rose

    oui, nous nous reconnaissons. Faut-il entendre que la libération passe par cette descente extrême qui nous caractérise. Tous les humains sont donc passés par ces pires épreuves si douloureuses … Comme Zorg, grâce à tout cela nous allons retrouver patience, enthousiasme, courage, fierté, sérénité, confiance, respect, entraide, bonté, générosité…..Amour.. La lumière tant espérée. Faut-il croire que nous la méritons nous aussi. L’émotion monte en moi, Je me pardonne, je te pardonne, je lui pardonne, je vous pardonne, je nous pardonne, je leur pardonne ! good Merci

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  15. Daniel

    Sublimation de l’expérience de la Dualité… Au chapitre précédent, je me sentais comme enfant de Zorg avec une « mission » d’expérimenter, de connaître une infime partie de Sa Mission. Dès lors, la Solidarité, la Communion, l’Altruisme permettait de ré assembler le puzzle de l’Origine, mettre côte à côte de petits grains de poussières pour en faire une Cathédrale.
    Là je ressens Zorg comme l’Ange déchu, Lucifer qui à travers la sublimation de la Dualité tout au fond de sa Nuit Noire touche le fond du fond et renait des cendres de son Energie descendante pour mettre en place la Lumière de Notre Energie Ascendante… Suis-je dès lors un enfant de Lucifer ?
    Gratitude

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  16. lolita

    Je comprends mieux mon esprit rebelle. Ca fait sens. Merci Zorg. kiss

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  17. jean-Lucas

    Passage très émouvant… Merci Zorg, et merci Laurent smile

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  18. étoile filante

    Zorg est riche de connaissance (entre autres en tant qu’ensemenceur de mondes), et d’expériences. Il est à l’origine de nos civilisations anciennes, et de notre mythologie. Nous portons certainement en nous une parcelle de sa mémoire. Ce 7ème chapitre est poignant, la déchéance de cet éminent sage m’a émue aux larmes. Cette histoire est si riche, mais en même temps si résumée, qu’on aimerait en savoir plus, pour découvrir notre histoire, la vraie histoire de notre évolution. J’espère que le prochain chapitre relatera le processus évolutif et l’ascension de Zorg.

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  19. Nathalie

    Je pense à ce que Zorg a traversé en pleine conscience : la chute, la frustration, la souffrance…
    Je comprends qu’il nous en ait voulu et ait souhaité devenir amnésique, comme nous le sommes.
    « Se pardonner à soi-même (…) c’est comme s’avouer faillible, admettre ses erreurs et se croire encore correct malgré les fautes », j’aime beaucoup cette définition qui d’un coup fait lâcher quelque chose au petit ego.
    « Comme il est facile de juger ce qu’on ne connaît pas de l’intérieur » : cela m’évoque se taire et monter notre fréquence.
    Finalement (je vais faire un raccourci grossier), c’est un être supérieur qui a traversé ce que nous avons traversé, émotionnellement en tout cas, en conservant la mémoire. Deux états de départ différents pour une expérimentation intérieure somme toute similaire. Un apprentissage pour le Sans Nom. Puissions-nous remonter, comme lui, échelon par échelon, vers la conscience.
    Gratitude à toi Zorg, et à tous ceux qui nous aident à débrider nos moteurs…

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  20. pel

    wouah !!!
    je me rend conte que depuis mes 33 ans mon esprit directeur ( PV ) après m’avoir dit :  » mais qu’est ce que tu crois tu es en enfer  »
    n’a de cesse à me faire comprendre le but de mon cheminement actuelle
    mon travail perso n’est pas régulier … c’est du tout ou rien !!!
    alors ( PV ) m’a dit à mes 62 ans :  » tu dois faire st Jacques de Compostelle , comme les cathares sont montés sur le bûcher . »
    je l’ais fait … et j’ai compris que c’était pour mourir vers l’ouest à l’illusion de ma vie … pour mourir de mon vivant !
    mais j’ai mis longtemps à comprendre : pourquoi les cathares ?
    maintenant je sais
    sur le bûcher , ils ne sont pas mort dans la mort … Ils étaient dans la joie de leur résurrection ; de leur délivrance terrestre
    et pourtant , je continue à avoir de la faiblesse dans mon travail perso concernant l’alimentation … je me sens fa ti guées dans la durée de tout ce temps … je tombe …je me relève … je fais 3 pas en avant et 2 en arrière , pour recommencer … en ayant débuté jeune je suis parmi les retardataires !!!
    Zorg me m’est l’accent sur l’urgence du travail assidu et régulier à entreprendre pour s’en sortir Maintenant . Merci papa !
    MERCI LAURENT d’être ce que tu es pour nous NAMASTE

    Réponse
  21. MARIE

    salutation fdc,Il m’est inutile de raconter chacune de mes vies avec leur lots d’exploits et d’erreurs.

    Avec le temps, j’ai connu et vécu toute la gamme possible d’expériences qui est donnée de vivre à un humain sur terre.Mais moi j’étais cloué ici et je devais faire de mon mieux avec des moyens qui s’appauvrissaient inexorablement.Être humain, c’est d’avoir des milliers de questions et une révélation à tous les deux mille ans.

    Jamais je n’aurais pu imaginer, dans mes pires visions, descendre aussi bas et vivre moi-même au quotidien ce cauchemar qu’est cette terre. conscience que ces phrases résument très bien des vies et des vies à l’infini sans réponse entre la folie: ou recommencer.n moi.

    Je passais pour un étranger où que j’aille, celui dont on se méfie car quoi que je fasse, mes maladresses trahissaient ma double identité. Ses phrases sont les miennes comme un immense tableau juste ressenti. criant de vérité et d’une immense douleur. FDC 0 TOUS

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  22. fréret Yveline

    J’ai resssentis mon corps comme trop étroit,et j’ai rezssentis le froid, la tristesse…
    Puis cette étape passée, j’ai ressentie une force intérieure, une expansion de ma cage thoraxique, , mes poumons grossissaient, et surtout dans mon dos, comme si quelque chose voulait sortir de mon dos,
    Des Ailes!!!

    FDC

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