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L’évolution d’un être l’amène à devenir de plus en plus complexe, riche en expériences, vaste en savoir donc à développer une multitude de facettes.

Chacune de ces facettes correspond à une grande conclusion, une vie comme exemple.

Dans le sens de votre évolution, vous allez vers la fusion entre vous pour former des entités aux multiples facettes.

Mais les êtres qui descendent des mondes supérieurs n’ont pas le choix que de se fractionner dans un nombre d’individus de plus en plus croissant.

La diminution des facettes de chaque être qu’on retrouve plus on descend votre échelle évolutive l’oblige.

Commencez-vous à comprendre mon univers complexe que j’essaie de vous simplifier.

Il ne faut pas croire que la conscience puisse se développer sans des étapes préparatoires. On peut accélérer le processus d’évolution, dans notre cas, jusqu’à cent fois environ.

Mais il faut respecter les étapes d’adaptation des organismes à l’environnement et l’environnement aux organismes.

La planète même ne peut faire un bond évolutif sans qu’il y ait réajustement de l’ensemble des systèmes autour.

Comme votre race a été créée ou plutôt ensemencée dans un autre monde puis transplantée ici sur terre, il y a plus de trente-cinq mille ans, il n’y a aucun humain qui n’a pas des ancêtres extraterrestres.

Si vous regardez si souvent le ciel, c’est que c’est de là que vous venez tous.

Quand je suis venu pour la première fois sur la terre comme résident, j’arrivais avec mon équipage pour régner sur cette jeune colonie toujours à reconstruire.

Je croyais que ce serait facile d’imposer mon point de vue car c’était le plus éclairé. Mon orgueil était ma faiblesse.

Ce fut une tâche titanesque que d’éduquer l’ancienne espèce dont le gestuel et le langage n’étaient plus composés que de quelques centaines de formes de base.

Il était plus facile de passer pour un Dieu magicien que pour un sage instruit.

Je dus prendre beaucoup de décisions pour améliorer les conditions pitoyables des populations locales : abolir la violence par la force, la terreur par la peur, encourager la bonté par des récompenses, les services par des privilèges.

Malheureusement, je dus ordonner des génocides de peuplades guerrières et
cannibales.

Voilà l’être civilisé devant l’être primitif. Qui sera le gagnant ? Qui sera le perdant ? Ni l’un, ni l’autre.

Donc, quand je suis arrivé sur la terre dans ma forme principale, je venais en dirigeant mandaté pour régner et conseiller cette jeune colonie.

Je fis d’abord construire trois villes jardins dont la plus vaste, celle où je résidais, contenait nos centres de recherche et de développement.

J’étais accompagné d’une épouse et d’un ensemble de collaborateurs qui m’étaient proches.

Chaque membre de ce noyau principal d’une trentaine d’individus environ possédait un corps plus ou moins physique selon vos critères et quasi indestructible ce qui veut dire qu’il pouvait se renouveler à volonté et était donc peu altérable par les agressions extérieures.

Cela ne nous empêcha pas de décider de nous reproduire dans le but d’engendrer une lignée d’entités apte à diriger les autres royaumes secondaires en cours d’élaboration.

Nous voulions transmettre à le plus de descendants possibles, les qualités héritées de nos ancêtres en espérant qu’eux aussi à leur tour les propagent.

La race que nous avions amenée avec nous avait un potentiel immense, dépassant nos propres capacités. Mais pour l’instant, ce n’était qu’un potentiel non encore révélé.

Leur corps avait l’aptitude de se perpétuer de sept cents ans jusqu’à mille ans environ. Mais cette espérance de vie fut écourtée volontairement après quelques siècles à trois cents ans environ.

La détérioration rapide des composantes des corps amenait un manque de souplesse, une mobilité réduite sur une longue période de leur vie.

Malgré nos efforts, l’environnement imposait ses règles.

Sur les terres avoisinantes à nos cités, nous apprenions à cette race vierge à subvenir à ses propres besoins. Nous ne serions pas toujours là.

L’autosuffisance était une condition essentielle imposée par nos supérieurs.

Quinze mille ans devaient suffire pour répandre cette race aux quatre coins de la planète.

Une de mes premières décisions fut d’ordonner le nettoyage de la terre de tous ses éléments qui pourraient empêcher cette réussite.

La première race implantée il y a deux cent mille ans avait en grande partie dégénéré et une faction était devenue très violente et cannibale donc une menace pour la nouvelle race.

Malgré des similitudes morphologiques entre les deux, elles étaient incompatibles génétiquement et ne pouvaient donc qu’engendrer, s’il y avait union, des aberrations.

Je dus ordonner des génocides de population entière et celle de certaines races d’animaux dangereuses aussi pour ma nouvelle race pacifique et innocente des dangers.

Nous avions des “armes” qui pouvaient cibler la fréquence spécifique d’un simple individu, d’une espèce ou d’une grande collectivité et la décomposer en la ramenant à ses composantes élémentaires sans la faire souffrir d’aucune façon et sans affecter le reste de l’environnement.

Que de décisions, que de responsabilités et comment seul je dus prendre la charge de ces actes.

Je l’ai fait au meilleur de mes connaissances, avec pourtant le regret de ne pas avoir tout tenté pour éviter ces massacres.

J’aurais pu faire des déportations préventives mais la continuité de leurs vibrations dans l’atmosphère n’était pas souhaitable. Mais je crois aussi que mon jugement si sûr d’avant commençait à être affecté.

La terre fut un temps un véritable paradis à l’échelle humaine.

La luxuriance de la vie sous toutes les formes et l’harmonie entre elles avait bien été dosée par nous dans sa première version.

Mais à mon arrivée officielle sur terre, bien des tares avaient proliféré et modifié son aspect. J’avais un certain contrôle sur la qualité de la vie près des villes.

Mais plus on s’éloignait des centres, plus elle s’appauvrissait.

Je fis construire sept autres centres de recherche et de développement dans sept endroits de la planète susceptibles d’engendrer des civilisations autonomes.

Des tentatives furent faites aussi pour rééduquer les vestiges de la première race qui avait reçu trois fois l’apport de races extérieures.

Cette entreprise donna quelques résultats des populations plus pacifiques, mieux organisées capables de cultiver la terre, tisser les fibres, modeler l’argile, construire des maisons plus solides ayant des rapports entre eux plus respectueux, une ébauche de civilisation quoi.

On ne permettait pas pour l’instant le côtoiement trop intime entre les deux races. Les accouplements interraciaux étaient strictement interdits et les contrevenants punis sévèrement.

Tout ce travail colossal semblait n’apporter que des résultats minimes. Conserver une race intacte, c’était une chose. La faire se développer, une autre.

Je ne faisais peut-être pas assez confiance en mon entourage. Je laissais peu d’initiative hors de mon contrôle.

Mon mandat était clair. Une dernière tentative de quinze mille ans pas plus et après on remballe le tout, on efface les traces de notre passage et on laisse faire la nature.

À ce moment-là, mon monde d’origine se relevait tranquillement du choc datant déjà de cent soixante-cinq mille ans. Il pouvait enfin compter les victoires sur les fatalités. Le pire était passé.

Ce que je veux vous dire, c’est que tout ce travail fut fait parce que je croyais qu’on pouvait créer ici un monde meilleur à l’égal de notre monde.

Mais mon erreur, c’est d’avoir cru qu’on pouvait changer les données immuables de l’univers, créer un monde avancé dans une partie de l’univers qui n’était pas encore prête à ce bond évolutif.

Ma planète d’origine l’avait fait avec le consensus de tous ses membres. Mais elle en payait quand même le lourd tribut aujourd’hui.

Vouloir changer les règles du jeu sans l’accord de tous les protagonistes comprenant la conscience de la planète, le système solaire et pourquoi pas Dieu lui-même était voué à l’échec.

Se pouvait-il que je fus moi aussi contaminé par cette fièvre de l’orgueil à se croire meilleur que tous ceux qui m’avaient précédé ?

Le petit individu que je suis pouvait-il gérer seul ce grand casse-tête ?

Eh oui J’ai appris tout ce que je pouvais apprendre de cette partie de l’univers jusqu’à en subir sournoisement son influence et en faire partie contre ma volonté.

J’ai connu et vécu ce que je ne croyais jamais devoir connaître. J’ai fait pire que ceux que je considérais comme arriérés, barbares.

Mais j’avais toute l’intelligence nécessaire pour me justifier. Je suis descendu dans ce monde pour l’élever et c’est moi qui m’abaissai plus encore.

Pour revenir à mon histoire, cette dernière tentative pour élever la conscience de la terre n’avait plus son côté d’urgence ni sa nécessité absolue.

J’étais très fier et orgueilleux et je rêvais encore de reconstruire à moi tout seul notre gloire passée.

Comme je devenais terriblement individualiste et arrogant.

Après l’annihilation d’une partie des vestiges de l’ancienne race humanoïde qui avait dégénérée et était une menace pour les nouvelles populations, sept endroits répartis sur la terre furent choisis pour partir sept foyers de civilisation.

Nous avions quinze mille ans pour réussir notre mission avant que le débalancement de l’axe de la terre, prévu depuis longtemps, vienne balayer notre île.

Sept civilisations prirent leur envol sous nos offices. Elles devaient s’épanouir lentement en se détachant de la mère patrie.

Quand vint l’heure enfin de plier bagage, je n’ai pas eu la force ni la capacité pour repartir.

Mon taux vibratoire abaissé sur une longue période ne voulut plus s’élever. Il n’y eut que quelques compagnons pour pouvoir faire le trajet du retour quand se présenta le vaisseau-mère.

Pourtant, à mon arrivée quinze mille ans plus tôt, je n’avais qu’à m’étendre, me reposer un peu pour régénérer entièrement mon corps.

Après cinq mille ans environ, les premiers signes de dysfonction apparurent m’obligeant à me servir d’appareils réactivant les vibrations et stimulant les cellules. Je dus m’en servir de plus en plus souvent et régulièrement pour maintenir en vie mon corps.

Puis vint le temps, environ sept mille ans après mon arrivée, que ce ne fut plus possible. Ma conscience était si vaste que j’ai décidé de me prolonger à travers les corps de mes propres enfants me garantissant une mémoire intacte.

A ce stage, je n’étais plus un Dieu immortel comme mes frères de lumière qui inspiraient la crainte et la vénération mais un simple géant comme ceux qui peuplent vos légendes.

À l’origine, mon principal corps terrestre était quasi indestructible ce qui veut dire se renouvelait à volonté.

Mais, l’abaissement des taux vibratoires et des gestes posés par moi m’entraîna dans un cycle de réincarnations ici-bas avec tout ce que cela comporte de limitation.

Quand l’heure de partir sonna, je ne pus m’élever dans le ciel avec mes compagnons et dus me réfugier en Égypte.

Après la grande catastrophe qui décima l’île en grande partie, il fut décidé que la construction de grandes pyramides à travers le monde, conjointement avec un peuple d’extraterrestres, stabiliserait définitivement l’axe de la terre.

Incarné dans un corps de plus en plus solide et de plus en plus éphémère, je n’avais que ma taille d’un mètre à un mètre et demi de plus que la moyenne des humains pour imposer le respect.

Mais même avec un corps de cette taille, j’avais dû me délester de tant de pouvoirs que je le percevais comme une entrave. Ce fut peut-être ce qui m’a le plus blessé.

Être si vaste, si riche d’expériences et en être réduit à fonctionner dans des corps si grossiers, aux sens restreints, aux moyens d’expression si primitifs.

Pouvez-vous imaginer une seconde votre conscience enfermée dans le corps d’une souris Implacablement, le temps fit encore son œuvre.

Trois mille ans plus tard, j’ai commencé à perdre la mémoire consciente à travers les changements de corps.

Pendant une période, je me suis servi de stimulateur de mémoire puis d’accélérateur d’apprentissage. Mais vint l’heure inexorable de l’amnésie du début de la vie.

Quand sonna le moment de mettre fin à cette aventure, mon être avait été capturé par l’aura de la terre et fait prisonnier.

Quand vint l’heure de nous faire oublier d’effacer nos traces les plus évidentes, il m’était devenu impossible, même avec toute ma volonté, de repartir vers ma planète d’origine.

Je convins de me réfugier avec un groupe de fidèles en Égypte attendant le déluge annoncé.

Malgré tous mes efforts, inexorablement, après un temps donné, j’ai dégénéré ainsi que toute la civilisation à laquelle j’avais contribué.

En concret, c’était de perdre en premier nos capacités, puis nos outils qui les prolongent et enfin de se retrouver à la merci des éléments frustres de la terre.

Ce fut une erreur de ma part d’avoir voulu implanter une race aussi brillante dans un atmosphère aussi polluée.

J’ai accumulé tant d’erreurs que j’en suis venu à me dire que je devais cesser tout geste concret de peur de d’autres maladresses. J’ai tout gâché et je vous en demande pardon.

La première catastrophe importante après mon arrivée sur terre eut lieu il y a environ vingt mille ans.

Elle ravagea les côtes de l’Europe, une partie de la Méditerranée, en somme tout ce qui bordait les océans à l’est. Notre île perdit les deux tiers de sa surface qui s’abîma dans l’océan.

Des populations entières qui n’avaient pas voulu nous suivre dans notre immigration vers l’Égypte furent sacrifiées.

Alors, l’infime partie des survivants au raz de marée dégénéra rapidement n’ayant plus que des vestiges de notre technologie rassurante.

Sans la connaissance de son fonctionnement, elle était inutile et ne pouvait qu’engendrer superstitions.

J’avais emporté avec moi une grande partie de notre technologie et de notre savoir ancestral.

Nous perdîmes néanmoins le contact avec les six autres foyers de civilisations qui, de villes centres, s’étaient répandus lentement en territoires puis en vastes empires. Chacun prit sa destinée en main.

Notre technologie en Égypte ne fonctionna que le temps de quelques siècles.

Son utilisation, sa réparation, son alimentation, enfin tout le savoir qui était nécessaire à cela se perdit dans nos descendants.

Malgré que nous étions visités régulièrement au début par nos frères célestes, c’était toujours pour de courtes périodes, le temps d’un coup de main très limité et sanctionné par des autorités supérieures.

C’était juste pour garder un semblant de contact, une goutte d’espoir dans cette mer d’obscurantisme.

J’ai donc dirigé, à travers plusieurs générations, la civilisation que vous délimitez aujourd’hui à l’Égypte mais qui s’étendait à l’époque sur un plus vaste territoire.

Simultanément, j’ai contribué aussi à l’essor d’une civilisation en Australie et une autre qui couvrait une partie de l’Inde et de la Chine.

Mes multiples facettes se déployaient à travers des centaines d’individus dont les plus vastes consciences occupaient des postes-clés.

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35 Commentaires

  1. eric d19

    Ca me rappelle quelque chose… une sensation de déjà vu un nombre incalculable de fois…( Ah oui, LA CHUTE, sans pouvoir remonter!) ça me parle tellement, je ressens ces vérités très profondément…. mais pourquoi ne parles t’il pas des guerres, des lasers, des bombes, de la terre qui s’ouvre, se sépare et s’englouti, du firmament qui tombe du ciel..? Notre ZORG est-t il un Anunaki des origines?, cela y ressemble beaucoup…
    Très parlant..
    Merci Laurent

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  2. Daniel

    Zorg ne peut que constater son échec. Il a péché par orgueil et est descendu…plus bas que terre.
    Ses partitions ont pour la plupart perdu la conscience de son origine.
    Sa dernière partition, elle-même diluée dans des centaines de descendants, assiste impuissante à son emprisonnement, sa dissolution dans la matière.
    Mais Il est toujours là en conscience collective, « dernière goutte d’espoir dans cette mer d’obscurantisme »
    Est il au bout de sa Nuit Noire ? S’il est venu à nous à travers cette histoire, je dirais qu’il en revient, qu’il a quelque part trouvé son/notre Origine et que dorénavant cette Energie ascendante le guide vers le Grand Retour.
    J’en pleure de bonheur…

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    • Lisa

      À ce stade du récit , les informations données se croisent et me ramènent à la lecture d’Anthon Parks … Qu’il est bon de percevoir un peu de vérité quant à nos origines et d’y voir beaucoup plus clairement . Merci de nous donner accès à ces informations 🙏

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      • Valentin

        Puisque je ne connais pas Anthony Paris, ça me ramène au »Choix Atlante » de Guillaume Delaage. Encore un autre éclairage qui amène plus de compréhension et de paix smile

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      • alain

        Effectivement ça correspond aux chroniques de girku et ça me fait penser aussi au film 10000… la fin de la décadence !

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  3. jaco

    plus j’avance dans le récit plus je prend conscience de l’histoire de notre planète merci zorg merci laurent

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  4. Alain

    Je commence à comprendre d’où vient cette nostalgie qui m’habite depuis toujours et dont j’ignore encore pourquoi elle est là et pour quoi elle est là !

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  5. Puckam

    L’histoire s’est répétée avec d’autres apprentis sorciers qui ont voulu améliorer notre monde en depit de ce que nous sommes, à chaque fois malheurs , souffrances, tristesse, et si personne n’etait intervenu ? Aurions nous trouvé notre chemin vers l’un ?

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  6. Nicoleandry

    Une histoire bien terrifiante….. search

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  7. marie-claude15

    Lecture, le coeur « serré « .
    ..constat poignant , mais oh combien éclairant ..

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  8. Vie vie

    Zorg expérimente sans doute l’involution, comme nous l’avons expérimentée également et continuons de l’expérimenter. Mais n’est-ce pas de là qu’il tire toute son expérience et qu’il enrichit encore sa connaissance? Plus on est haut et plus dure est la chute… Mais comme on dit chez nous, c’est quand on a touché le fond que d’un grand coup de pied l’on peut remonter… Si Zorg nous parle aujourd’hui et nous demande pardon, c’est qu’il a fait le tour de cette expérience, qu’il y a vu toutes ses erreurs, qui sont, somme toute, assez proches de celles que nous faisons. L’environnement de notre monde semble y être pour quelque chose. Mais aujourd’hui il nous est demandé de transmuter la matière en lumière, forts du potentiel que nous possédons et qui nous a été donné par la civilisation de Zorg. Cela peut avoir l’effet de nous permettre de ramener l’énergie trop basse, dans ce coin reculé, à un niveau beaucoup plus élevé et permettant l’avènement de la nouvelle race…
    Ainsi donc Zorg, nous n’avons pas à te pardonner, nous avons d’ailleurs commis des actes tout aussi répréhensibles, mais au contraire nous avons à te remercier car nous portons tous les graines que tu as semées… et dont tu as essayé de prendre soin au mieux de tes compétences. Nous sommes…

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    • chipie 30
  9. Claude M

    Serions-nous ces parties de conscience de ZORG qui essaient de remonter la pente??!! …
    Quelle histoire !!

    merci, Merci, MERCI, 1000 X MERCI

    Claude

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  10. Rose

    Whouaaa …. tellement de choses résonnent en moi mais les bras m’en tombent quand même..; Laurent nous avait prévenu. Oui pardon, pardon, le fameux pardon total conjugué à tous les temps smile mais dans ce pardon il y a de la reconnaissance. L’expérience est tellement courageuse. Le mot est faible. Heureusement que la fin de la dévolution fût le 21.12.2012 ça me remonte le moral parce que là je suis un peu tombée dans mes chaussettes. A quand le chat de l’aiguille ? good

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  11. Fabienne

    Cette conscience gardée dans la chute à dû être terrible À vivre !
    vivre la dégénérescence du corps autant.
    Le voile de l’oubli à dû être d’un grand soulagement
    C’est comme certaine vieille personne qui préfère perdre la tête pour ne pas voir la déchéance de leur corps et de leur esprit
    Quelle terrible expérience !
    Merci de nous dire tout cela Zorg! Cela aussi à dû être très difficile
    Merci pour ce grand courage,là ce montre ta grandeur!

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  12. Fabienne

    Peut-être que le but du « jeu » :
    L’incarnation de Zorg, avec la mission d’épurer la terre,n’arrive À son accomplissement maintenant où l’l’orgueil et l’arrogance deviendront obsolet? Ce grand frein à l’évolution. . . Qui sait?

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  13. Dragon de Feu

    Wow!………..L’Expérience est tellement courageuse .Tout est dit ! good

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  14. Alain44

    ben tu nous as mis dans une belle m…. ZORG…. merci good

    Excuses acceptées cependant. smile

    T’as bien fait de tenter l’expérience, là au moins tu sais que ça ne fonctionne pas et c’est une des réponses au qui suis-je ?

    Entre ce que Laurent nous a raconté sur les octaves et ce bout de récit catastrophique, comment veux tu que notre mental 3d étriqué trouve la sortie même en mettant le doigt sur la majorité des « programmes » de blocage
    Est-ce que tes copains la haut ont l’intention de venir nous dégager le ciel qu’on respire mieux et nous dégager de ce bombardement incessant d’ondes involutives que reçoit notre cerveau sur des endroits stratégiques et qui empêche notamment notre sphénoïde de basculer pour nous faire progresser vers une nouvelle race ?
    comment veux tu qu’un christ apparaisse sur cette terre alors que toi l’être aux capacités déistes, probablement supérieures à celles d’un christ, n’ont cessé de ce déliter à travers les âges ?
    T’as un nouveau plan ZORG ?

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  15. Prébet JS

    Merci infiniment good kiss

    Réponse
  16. Capt'n flam

    C’est une lecture très intéressante, qui peut en effet être recoupée avec d’autres.
    Celle-ci me donne néanmoins la sensation de me reconnecter profondément à mon long parcours sur cette planète, c’est curieux comme ressenti: là, sur l’instant c’est beaucoup de lourdeur, de densité, liées à ces millénaires passées.
    Je ressens un processus évolutif extrêmement long à se réaliser dans le temps.

    L’échange vibratoire et les résonances font leur job … smile

    Réponse
  17. Robert Chantal

    Que de similitudes avec ce que nous vivons actuellement diriges par des etres etouffes d’orgueil (bien pire que Zorg) mais surtout depourvus de respect de LA vie et d’Amour pour LA vie
    Meme si mon mental remet les images diverses a une vitesse folle devant mes yeux, les sensations sont si for tes qu’elles l’entrainent inexorablement vers une issue limuneuse Comme une Renaissance inevitable avec une sorted de deliverance heureuse. La paix l’harmonie la serenity nous tendent les bras
    C’est ce que Je ressens au plus profond de mon etrete
    MERCI🙏💕💜

    Réponse
  18. Fabienne

    L’orgueil et l’arrogance n’exite que si l’on se distancie des autres.Mais comme on va vers l’un,cela disparaîtra de lui-même

    Réponse
  19. yves

    bonsoir Laurent
    Sur ce site les abonnements ne fonctionnent pas quelque soit la boite mail utilisée.
    Merci pour cette diffusion qui nous touche tous , on attend la suite : comment ZORG va nous proposer de nous en sortir , quel est son plan ?
    Bien à toi

    Réponse
  20. Danielle

    Evidemment, Zorg parle des évolutions , revirements, génocides, carnages étalés sur des périodes de deux cent mille ans. Puis par les essais de reconstructions successives et de dégringolades à nouveau… Enfin de paradis sur terre sur une période de cinquante mille, pour finir par nous annoncer qu’il a raté lamentablement son objectif d’amélioration des peuples, durant les quinze mille années suivantes…
    En l’écoutant, on se sent sidéré, tellement minuscule, et venant de si loin….pour apprendre cette épopée si peu glorieuse. Et lui, Zorg, ce chef puissant et humble , nous demande pardon…?
    C’est époustouflant, à peine croyable, A ma connaissance , aucun de nos grands dirigeants, politiques, militaires ou médecins, ne s’est jamais excusé de ces erreurs!
    Pourtant, il faut bien reconnaitre que toutes nos générations, même les dernières n’ont guère fait mieux que de son temps. Les guerres, les batailles, les violences, les tortures n’ont jamais cessé sur terre .
    Nous n’avons pas de leçons à te donner Zorg. Car nous continuons, encore et toujours, à vivre dans les incertitudes et les menaces de nos chefs, avec les échecs de leurs décisions et la chute imminente de notre civilisation. Feu du cœur à tous pardon

    Réponse
  21. Serge : ser.jeu

    Bonjour,
    Je ne ressent toujours pas la vérité dans cette histoire. Elle est prenante avec zorg dans tous ses états.
    Mais tout est illusion, tout est vibration, et donc chacun va penser, créer son monde passée, présent et futur. C’est un Jeu qui se crée à chaque instant et donc modifiable grâce à nos particules atomiques .

    Réponse
  22. Believe

    Zorg dit que sa conscience est devenue renfermee et qu’il oubliait alors comment se rappelle t-il en details son origine? Est-ce que Zorg etait un bon qui a ete influencer par le mal et aujourd’hui veut le pardon, beaucoup de questions viennent en tete en lisant son histoire. On verra ce que la suite revele……

    Réponse
  23. poirier philippe

    comme le disait Laurent lors du premier article inutile de vouloir tout comprendre tout expliquer le mental ego qui nous a quand bien servi dans les précédentes dimensions ne veut pas s’effacer et fait tout ce qu’il peut pour nous faire comprendre poser des questions la simple lecture ou écoute de ces articles doit à mon humble avis par ses vibrations nous guider alors calme le simple fait d’attendre la suite est encore du domaine de lego je vous embrasse tous en tout cas et remercie encore Laurent et zorg pour cette transmission

    Réponse
    • Believe

      Tu as bien raison Phillipe!

      Réponse
  24. Céline Bertrand

    merci pour cette transmission
    Feu du Coeur

    Réponse
  25. korrigan

    Résumé du pavé (surtout parce qu’il y a bcp de citations du texte 😉 : droit de réponse d’un natif car ce que dit Zorg vibre bien, mais ce n’est pas midi juste.

    Merci Laurent pour ce texte, et surtout pour avoir préparer un contexte de lecture propre à reconnecter les vortexiens avec leur lointain passé (pour la plupart) dans ce système solaire.

    Ca a été mon cas, qui n’est ni celui d’une connexion de Zorg ni de son équipage, mais parmi les « natifs », qui ne sont finalement que peu évoqués dans ce récit.

    « Les confins de l’univers servent à expérimenter, à essayer des nouveaux prototypes avec tous les risques que cela comporte. »
    « Dans certaines parties de l’univers, surtout dans les extrémités des galaxies où l’énergie est rare, il s’est développé une nouvelle espèce ayant la faculté de prolonger son identité à travers plusieurs corps. »
    « C’est seulement dans les confins de l’univers où l’énergie ambiante est rare donc peu communicante et où elle se cristallise dans des formes de vie séparées les unes des autres par de grands espaces que ne pouvait naître le règne de l’individu. »

    Yep !

    « Cette nouvelle étape de l’évolution a connu des réussites comme mes frères et moi et des dérapages comme ceux qui ont affligé votre système planétaire. »

    Là par contre c’est SON point de vue ^^

    Le malentendu vient de là :

    « L’évolution normalement comprise, c’est d’aller l’un vers l’autre, se comprendre, s’unir pour ne faire qu’un. »
    « C’est ce que l’énergie Divine originelle souhaite. Mais cette première race est entrée en contradiction avec cette volonté Divine. »
    « Elle a proclamé que l’évolution pouvait être le développement de l’individu à son maximum de possibilité, la partie du tout voulant devenir unique. »

    « L’évolution normalement comprise » de Zorg n’est pas l’équivalent de « l’évolution normalement comprise » quand on test des prototypes.

    D’ailleurs toujours à propos de l’individuation :
    « Ce qui fut perçu au début comme un dérapage magistral se transforma en une nouvelle caractéristique de l’univers. »
    La conclusion « normale » devrait être donc : c’est que que l’énergie Divine originelle souhaite. C’EST.
    Quelle légimité ont Zorg et ses semblables pour décider – et contester ! – qu’une « nouvelle caractéristique de l’univers » ne soit pas la volonté de cette énergie Divine originelle ?

    Même si « l’orientation naturelle » est la reconnexion, il s’agit tout de même d’une impasse évolutive.

    En fait : revenir à la source, c’est involuer, s’en éloigner c’est évoluer.

    L’energie Divine veut expérimenter de nouveaux états, et ce n’est certainement pas par la voie du « retour aux sources » qu’elle va y parvenir.

    Cette rencontre entre 2 sphères les a réveillé, un peu comme un seau d’eau sur un drogué à l’opium. La voilà la volonté de l’énergie Divine :p

    « Ce que je veux vous dire, c’est que tout ce travail fut fait parce que je croyais qu’on pouvait créer ici un monde meilleur à l’égal de notre monde. »
    « Mais mon erreur, c’est d’avoir cru qu’on pouvait changer les données immuables de l’univers, créer un monde avancé dans une partie de l’univers qui n’était pas encore prête à ce bond évolutif. »

    Surtout ton « new normal » n’etait pas adapté de base à une zone destinée à experimenter des trucs dangeureux et inconnus…

    Bon j’en viens à ce qui m’a poussé à poster :

    « Ma planète d’origine l’avait fait avec le consensus de tous ses membres. Mais elle en payait quand même le lourd tribut aujourd’hui.
    Vouloir changer les règles du jeu sans l’accord de tous les protagonistes comprenant la conscience de la planète, le système solaire et pourquoi pas Dieu lui-même était voué à l’échec. »

    ok pour la conscience de la planète, ok pour le système solaire, et ok pour dieu lui même. Mais en tant qu’experimentateur d’avant leur intervention, je me situe où ?
    Bah c’est simple : nul part.

    Ca s’est fait sans notre accord, et pour cause. La réponse aurait été un énorme et massif « NON ».

    Quand Laurent nous dit qu’il faut aussi se reconnecter avec les parties « sombres » de nous même, c’est justement parce que c’est de ce côté qu’il y a la force du NON.

    Afin d’éviter tout malentendu : nous avons vécu le manque du respect, le joug du poids du pouvoir sur notre échine. C’est d’ailleurs cette colision entre nous (la friction c’est pour les petits joueurs) qui étaient expérimentée plein tubes avant qu’il y ait intervention extérieure. Et là en terme de manque de respect et de poids sur notre échine, ils nous ont fait du lourd !

    Je ne condamne pas, ils n’avaient pas le choix. Car en effet ce que nous avons développé justement c’était cette formidable condensation en 1 point infime de la création qui peut continuer à s’affirmer. Cette goutte d’eau devenue indissoluble dans l’océan.

    A ce titre, bien sûr, tout ce qu’ils ont fait « pour notre bien » n’a été qu’une couche interessante à ajouter à l’expérience. Nous avons été envahis, conquis, altérés et j’en passe car cela n’a fait que rendre l’expérience plus riche qu’elle ne l’était déjà.

    Donc merci pour tout !
    Ceci dit il n’y a jamais eu dérapage à notre propos, et nous n’étions pas en retard d’un « bon évolutif » sur la création.
    Nous sommes au contraire à la pointe.
    Et le sacrifice de fractionnement qu’il a vécu lui et son équipage, c’était quasi malgré lui (réaction aux circonstances), alors que les joueurs d’origines ont étés assez dévoués pour être des volontaires.

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  26. Nathalie

    Obligée de faire une pause en cours de lecture pour me replacer dans mon CCI car le mental l’emportait avec grogne, déprime voire fatalisme dash Au final, je remercie Zorg pour le courage de ce récit et ce retour en moi qu’il provoque. Il me semble que c’est un enseignement précieux pour m’aider à faire ma part dans « ce qui s’en vient ». Je ne suis pas sure de réussir, mais je sais que je suis capable de beaucoup plus. Alors au boulot…

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  27. lolita

    Que de bonheur pour moi de lire ceci et de me dire « je le savais ». J’ai éprouvé celà aussi avec les livres d’Anton Parks, comme un lointain écho. Et aussi avec le livre « le choix atlante, le mal planétaire actuel » d’Alexandre Moryasson. Oui ca vibre, comme un lointain écho. ça n’est plus du mental à ce stade. Merci Laurent et Corinne. Ca n’est pas Zorg qui doit trouver un remède à notre état actuel: c’est nous; tous ensemble. Je suis aussi d’accord avec ceci : Quand Laurent nous dit qu’il faut aussi se reconnecter avec les parties “sombres” de nous même, c’est justement parce que c’est de ce côté qu’il y a la force du non smile kiss boast

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  28. pel

    ZORG nous donne l’espoirs d’un retour possible vers la Source de part son expérience vécu ici bas , mais c’est à nous dans assumer le travail de la reconnexion
    MERCI pour cette éclaircissement
    MERCI à l’orateur

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  29. fréret Yveline

    Bonjour à toutes et tous,

    Dès le début de l’audio je suis de suite centrée et dans la vibration des mots mais je ne sais absolument pas quels sont ces mots, je ne les entend pas, je ne les imprègne pas

    De suite mon énergie vitale augmente et je ressens une immense « JOIE »
    Et je reste là, baignée par cette vibration, comme sur un nuage, dans un milieu cotonneux et que c’est bon!!!!

    MILLE MERCI

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  30. Mimi

    « Être si vaste, si riche d’expériences et en être réduit à fonctionner dans des corps si grossiers, aux sens restreints, aux moyens d’expression si primitifs. »

    Comme je connais ce sentiment de désespoir ! boredom

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